Plus d’un an de blog

C’est toujours bien de prendre du recul et de tirer des conclusions aux 1 an de son blog. N’y allons pas par quatre chemins : celui-ci est complètement inactif.

Ça m’attriste un peu mais je me dis que finalement, cette période d’essai révèle beaucoup de choses. La première, c’est qu’à mon grand dam, je suis incapable de tenir un blog entièrement sérieux d’analyse qui n’observerait la communication que sous un angle scientifique. J’ai des compétences, mais pas celle-là. Est-ce intrinsèquement un blâme ? Ce qui m’amène à la deuxième chose : en fait, non. Ce n’est pas grave. C’est mon blog comme dirait l’autre. Ce n’est pas parce que je recherche un idéal, celui d’être une personne fiable et sérieuse et légitime qui en connaît un rayon, et que je n’arrive jamais à atteindre cet idéal, que je vaux moins et que je sais moins.

Pourquoi toujours regarder chez le voisin ? Pourquoi toujours regarder si l’herbe est plus verte ailleurs ? Et toutes ces expressions dont je ne me souviens pas exactement.

Pourquoi être ce que je suis ne me suffirait pas ? J’aurais adoré être chercheuse mais j’ai fait le choix d’entrer dans la vie active rapidement. Je ne vais donc pas m’improviser chercheuse alors que je ne m’en donne pas le temps après le travail.

Si vous êtes déjà allé faire un tour sur mon blog de prépa, vous avez vu qu’il a régulièrement été alimenté et vous avez dû comprendre que ce que j’aime par dessus tout, c’est informer les gens. Partager ce sur quoi j’ai galéré et quelles solutions j’ai trouvé. Pas de conseils, pas d’avis scientifiques, juste des expériences. Et après tout, ça sert à ça un blog. J’aime l’idée qu’on peut s’entre-éclairer.

Vous avez peut-être constaté quelques premiers changements sur ce blog : plus de page d’accueil mais les articles par ordre décroissant, fond plus foncé pour plus de contraste et un aspect blog assumé. Je ne pense pas que les catégories d’article changeront mais elles seront sûrement abordées d’une autre façon, plus libre.

J’ai toujours plus de dix articles en brouillon : verront-ils le jour un jour, on ne sait pas, mais je pense savoir un peu mieux où je vais maintenant !